you're the f*cking best. - Louhan

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J'étais encore au bout de la rue 7-11, chez ma mère. J'étais perdue dans mes pensées. Jimmy était surment parti le matin de bonheur pour aller aux murs de grafitis mais j'avais préféré être couchée encore. J'en pouvais plus, six jours sans dope, alcool, rien. Je n'étais pas junkie, au contraire. Mais j"en avais besoin pour me sentir mieu, et moins...minable. J'avais trop de problèmes et trop de choses à géré, mais avec ça, ca allais toujours mieux. Ils avait de nouveau repaint la salle de bain du dépanneur, par ma faute. À toutes les fois, lorsque ma frustration était trop forte et que j'avais trop de chagrin, je me défoullais sur ses murs. Je me retourna sur mon oreiller, et m'assoya sur mon lit. Je me leva non-chalente, et me dirgea vers mon placard en ruine. Je pris les premiers truc qui me vint en main sois ; une chemise, des collants troués et mes bottes.

Spoiler:

Je pris ensuite mon téléphone, et composa le numéro. Lorsque la personne décrocha, j'eu envie de pleurer. J'avais tellement besoin d'elle ces temps-ci surtout avec mas soeur qui me compliquait la vie et toute la merde qui se passait dans ma vie... J'avais besoin d'elle.

- Louhan ? Oh, j'suis tellement heureuse que tu décroche !

Nous parliames pendant dix minutes, et je lui donna les indications pour quelle ce rendent chez ma mère. Je racrocha et attendit. Je resta assise sur mon lit. J'eu encore une dispute avec ma mère, et celle-ci me regarda encore avec un air de perdante. Je sorti dehors, et m'assoya sur les marches du balcon à dix mille ans.
Je vis Jimmy arriver et il vint s'assoir près de moi. Je m'accota sur son épaule et soupira. Ont ce parlais doucement lorsque je vis une voiture entré dans mon drive way.
Je dessendis les marches tranquilement, tant dis ce que mon prétendant lui regardais la scène, je ne savais pas quoi dire à Louhan mais j'étais tellement heureuse de la voir!

- Bonjour.

Deux semaines. Deux semaines que je n'avais pas adressé le moindre mot à Lola. Je lui en voulais toujours un peu de m'avoir caché ces choses, d'avoir encore volé la vedette et surtout de m'avoir traité d'égoïste alors que mon moral était déjà à zéro. Oui j'avais fait des erreurs, oui j'avais souvent été une piètre amie, mais je ne voyais pas en quoi me rendre l'appareil pouvait tout règler. Malgré tout, lorsqu'elle téléphona chez moi cet après-midi là, je ne pu m'empêcher d'éprouver un sentiment de joie. Il n'y avait que deux semaines pendant lesquelles nous ne nous étions pas parlées, et j'avais pourtant l'impression qu'un siècle était passé depuis la dernière fois. Nous parlâmes une dizaine de minutes, avant qu'elle ne me propose de passer chez sa mère. Elle m'expliqua rapidement le chemin et après avoir raccroché, je me dirigea vers la douche. J'avais hâte de la voir malgré la colère que j'éprouvais encore. J'avais hâte de lui dire que depuis la dernière fois que nous nous étions vus, je n'avais pas consomé. Après avoir passé une quinzaine de minutes sous la douche, je fila à ma chambre et m'habilla rapidement sans vraiment prêter attention à mes cheveux. Après tout, elle m'avait vu dans de bien pires états. J'enfila donc un vieux chandail gris long, des collants troués ainsi que de vieilles bottes confortables, prit mes clés et sortit de la maison.

Trouver la maison de Lola fut plutôt compliqué, mais après quelques temps et deux trois personnes à qui je demenda des indications, j'arriva finalement. La villa, ou plutôt maison n'était magnifique. Deux étages tombant en ruines, de vieilles fenêtres sales et le gazon extrêmement long. Je poussa un profond soupir et sortit de la voiture en éteignant ma clope. Aussitôt que je claqua la portière, je vis mon amie sortir en trombe dehors. Elle semblait bien aller et me fit un grand sourire. « Bonjour » murmura t'elle visiblement heureuse. Je souria à mon tour malgré tout et alla la serrer dans mes bras. « Tu m'as vraiment manqué tu sais » D'accord, je m'étais promis de rester tranquille et de ne pas rester lui sauter au coup, mais lorsque je l'avais vu, sa avait été plus fort que moi. Je lui fis un petit sourire et nous rentrâmes à l'intérieur. C'était morbide, un petit salon, une cuisine miteuse, décidément, j'avais sous-estimé l'endroit où elle pouvait vivre. J'échapa un petit rire et posa mon regard sur le divan du salon. Il y avait un gars, mignon mais pas mon type. Il semblait bien à ses aises et aussi bien sympatique. Je lui adressa un petit sourire de politesse et me retourna vers Lola pour des explications. Dans son regard, j'avais bien vu qu'il y avait un petit quelque chose entre eux.

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Jimmy se leva et quitta la maison. Il m'avait dit qu'il me laisserais avec Louhan alors. Il allais surment être aux grafittis. J'entra dans ma chambre avec Lou et referma la porte. Il y avait encore les deux flingues paint à l'arrière. Mes murs était resté rouges avec mon écritures sur quelques endroit. Il y a avait quelques dessins, des phrases de chansons... Au dessus de mon lit j'avaus deux affiches de Green Day qui dattait de longtemps. Sur ma tête de lit, quelques photos. Ma télé, toujours aussi vielle, jouait sans cesse mon DVD favori du spectacle de Green Day. Louhan n'avais jamais su que je consomais, et à partir de maintenant, j'allais peut-être avoir le courage de lui dire. Je mis mom DVD en sourdine, et mis un CD. Ma mère était parti je je sais trop ou mais bon. Je m'assoya sur mon lit, et Louhan fit de même. Mon visage était encore joli, mais les effet de manque de dope ainsi que leurs effets sur ma santé commencais à se faire voir.

- Louhan, si tu savais à quel point tu ma manqué... Tu sais, j'men veux de t'avoir caché plusieurs choses mais si tu veux j'pourrais t'expliquer...

Merde, j'avais tellement mal à la tête, j'avais l'impression de sentir mes cheveux pousser sur ma tête ! J'étais en manque, mais je n'osais pas l'admettre à moi même. Je recu un message texte au même moment. " J'aurai de la cocaïne et de l'héro si tu voudrait essayer. Je sais que t'es en manque, donc jte le fait moitier prix, apelle moi. - Mike ". C'était tentant, mais si je cédais... J'en pouvais plus! Je continua donc de parler a Louhan.

- Tu sais, j'suis prête à te dire la vérité.

Même en disant cela je répondais au texte a Mike en lui disant de donner ma dope à Jimmy. J'étais devenu addict à tout ca à mes quinze ans. Et aujourd'hui à mes presque 18 ans, rien n'avais changé et ca avait presque empiré.

- Eh, Louhan ?

Il fallais que je lui dise.

- C'était pas la première fois que je consomais de la coke la dernière fois que j'ai presque fait une over dose... Depuis que j'ai quinze ans, je consome et pas juste de la cocaïne.. J'suis devenu en quelques sorte un peu.. enfin accro a sa parce que sa m'aidait à aller mieu et avec les années ca la dérailler, je peux pas arrêter, je sais pas comment et c'est presque impossible pour moi... Si tu savais comment je me suis maganée, ca en est presque pitoyable, tu sais. J'voulais pas te le dire avant. Oh ouais, et le garçon que tu as vu tout à l'heure, c'est Jimmy, c'est... Quelqu'un de génial.

Je pris une pause.

- Tout a l'heure, les filles voulait me voir, j'voudrais de les présentés. Je sais que tu dois trouver sa buzare que je vive dans un endroit comme ici, mais j'ai vécu ici toute ma jeunesse, et dison que pour moi c'est nornal. Et, j'suis désolée de t'avoir traité d'égoïste il y a quelques semaines, je m'en vex tu sais, j'aurais pas du te dire ça.

Je voulais ma dope, mais en même temps j'essayais de me convaincre que je n'en avais pas besoin. Ce qui était impensable. J'entendis alors toquer à la porte de la maison. Je dis alors a Louhan que je revenais. J'alla répondre à la porte et vis Jeff. Je figea. Il m'en voulais encore pour la fois ou j'avais jetté son arme dans la rivière parce que il avais essayé du tué Jim' et surtout moi je lui en voulais depuis qu'il avais falli me tuer avec son arme.

- Va t'en, j'ai pas envie de te voir.

Peut-être avais-je dis ca sans politesse mais c'était tout ce qu'il méritais.
J'essya de refermer la porte, mais il la poussa. Il savais que Jimmy n'était pas là et qu'il avait le controle sur moi. Il empoigna mon bras et m'approcha de lui sans aucune raison. Il me disais que si j'appellais la police, à cause qu'il avais essayé de me tuer ou peu importe (ce qui insinuais lorsqu'il avais abusé de moi), j'allais retrouer mon copain noyé au fond de la rivière. J'avais peur de ses paroles, mais surtout de ses gestes. Il avait déjà abusé de moi à mes seize ans, et depuis se moment là lorsque je le voyais je voulais partir tout de suite. Il lâcha mon bras, et pris la porte. Je soupira, et barra la porte. J'envoya un lessage a Jimmy en lui demandant de revenir car j'avais toujours peur sans lui. Je me rendit dans ma chambre ou ce trouvais Louhan et m'assoya sur mon lit.
Personne ne savais ce petit incident il y avais maintenant trois ans de cela, et personne n'était au courant â part moi-même. C'était dit tout à l'envers et mes mots n'étaient même pas correctements prononcer. Le stress augmentais en moi, et tout ce qui importait c'était d'être capable de parler. Le manque de drogue commencais à ce voir, et après tout ces mois de couverture d'enfant sage, j'avais l'impression qiue Louhan me connaissait à peine. J'étais tellement différente de l'image que j'avais donner à Westridge. que même moi je me demandais comment j'avais fait pour agir ainsi et être de cette facon là tant dis ce que ce n'était pas moi du tout. Le style BCBG n'était pas du tout moi et j'avais eu du mal à mentir devant tout le monde même si je ne les connaissait pas encore.

La musique de ma chaine stéréo jouait encore, et je ne savais pas quoi dire. J'avais de plus en plus mal à la tête, et maintenant, je savais que si je n'avais pas ma dope d'ici ce soir, j'allais souffrir. J'avais déjà essayer d'arrêter, mais la douleur avait tellement été intense que j'avais cedé comme j'était en train de faire maintenant.

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