What ? | Noam

o

J'étais où au juste ? Aucune idée mais au moins j'étais à Los Angeles... Dans un espèce de bar branché inconnu. Mais aumoins ils savaiemt s'amusé. C'était vraiment la grosse débauche et c'était pour ca que j'aimais faire la fête, parfois trop même, mais ça m'aidais à m'éloigner et à oublier la réalité mème si j'était complètement consiente qu'ont ne pouvais oublier tout ca. Je m'étais habillé simple. Chandail et jupe très courte mauve. Mes cheveux étais restés lousses et j'étais partie en douce, si non je m'aurais fait claquer les doigts par ma très chère soeur.

HABILLÉ COMME ÇA + PHOTO PROFIL

Il était minuit, mardi soir. Je m'éclatais comme une folle, et j'avais été quelqies fois ai toilettes pour me tracer des lignes. Je n'avais pas encore réussi à arrêter, mais je savais que j'aimais trop ca pour arrêter tout ca comme ca, c'était trop dur.
Je me glissais a travers la foulle, et la musique sonnais doux à mon oreille même si l'éffet de la coke était fort. J'adorais danser sa me per
Etais de me défouler même si je me trémoussais avec un peu n'importe qui. Un, trois vers par là, cocaïne à quelques reprises... C'était définitivement la fête. Surtout que c'était les vacances de primtemps j'en profitais, et parfois un peu trop. Je retourna dans la salle de bain, une aitre ligne de coke s'enfila dans mon nez, et en me maquillant, malgré mon beau visage, je voyais qu'il commencais à être vraiment déformé... Mais quelqies petit coup de fond de teint discret avait caché l'affaire.
Je resorti des toilettes pour la inième fois, et regagna la foule.
Danse...danse...danse...danse.... Encore et encore, sort des toilettes et resort... quelques vers d'enfilés encore...
La cocaïne prenais le dessus, je n'avais pas l'air saoule, juste défoncé comme jamais je ne l'avais été. Je parti m'asseoir au bar, mais je ne pouvais rester en place il fallais que je fasse quelque chose. Je sorti finalememt dehors. Je mis mon sac à côté de moi, puis m'assoya en m'accota sur le mir de briqie en croisant les jambes en les allongant. Des personnes entrait et sortait du club, mais j'étais juste trop dans les vapes pour savoir qui c'était. Soudain j'entendis des pas, et une voix famillière... Il me parlais, j'entendis mon nom, puis fini par articuler un truc.

- Qu'est-ce que j'ai fait? Je comprend rien......

mad

Le ciel était noir. Aucune étoile à l'horizon. Noam soupira. C'était une des choses qu'il détestait le plus de la Californie. La stupide pollution lumineuse. En fait. La pollution tout court le mettait en colère. Il était du genre écolo et Olivia le taquinait un peu sur se sujet. Mais il venait du fin fond du Texas et avait toujours co-habiter avec des chevaux et la nature. L'air pure quoi.
Noam soupira de nouveau et remonta le col de sa veste. La Californie pouvait parfois avoir ses nuits fraîches. Dans un petit geste, Noam remonta la manche de sa chemise afin de voir l'heure. Trois heures quatorze du matin. Il se demanda pendant un instant ce qu'il faisait debout à cet heure si tardive. Ou matinal dans ce cas-ci. Il aurait pu avoir de la difficulté a dormir et avait décider de prendre une marche pour se changer les idées (choses qu'il fait souvent) mais pas aujourd'hui. Il revenait d'une petite fête d'enterrement de vie de garçon d'un de ses très bon ami. Il allait se marier dans deux jour et il était très stressé. C'était un garçon des plus respectables. La fête avait été agréable et vraiment drôle. Il n'était pas question de strip-teaseuse ou d'alcool. Non. Ils avaient plutôt passé la soirée à écouter de vieux classiques, jouer au billard et des choses comme ça. Une soirée qui pouvait paraître normal mais il fallait détendre le futur marié qui est du genre SUPER stressé.
Noam sourit en repensant à cela. Il s'arreta et attendit que la lumière vire au vert afin qu'il puisse traverser la rue. Il entendit alors une fille s'exclamer au loin. Il leva les yeux et vit qu'elle se tenait devant un bar du coin. Il fit une moue et soupira. Une pauvre fille encore sous la prise de l'alcool, pensa-t-il. Il avait toujours de la misère à voir des jeunes filles prit sous les effets de l'alcool et/ou de la drogue. Il trouvait cela autant pathétique que triste à voir. Il était bien content que sa petite soeur n'était pas tombé la-dedans.
Continuant de marcher, il se rapprocher peu a peu de la jeune fille. Elle avait une mini-jupe mauve très courte. Elle riait très fort et marchait tout croche. Elle ne semblait vraiment pas dans son état normal et ce n'était décidément pas juste de l'alcool qu'elle avait pris. Elle c'était aussi enfilé de la drogue. La fille avait de long cheveux châtains avec de petites mèches blondes. Elle ressemblait bizarrement à...

Lola ?

La fille en question se retourna et le gratifia d'un grand sourire. Elle me regardait comme si j'étais un parfait inconnu et me demanda qu'est ce qu'elle avait fait. Voir Lola dans cet été fit rager Noam. Lui qui pensait qu'après sa longue période a l'hopital après avoir recu une balle lui avait éclairci un peu les idées.

Qu'est-ce que tu fou ici à cet heure la ?, ragea-t-il. Et veut-tu me dire pourquoi diable t'es encore dans cet état là ? Non mais putain Lola !

Il était vraiment en colère. Il empogna le bras de Lola et se remit a marcher, trainant une Lola drogué derrière elle. Elle semblait trouver cela drôle. Noam ne savait même pas si Lola l'avait reconnu.

Tu vas venir avec moi. Je te ramène chez toi. , dit-il, les dents serrés.

o

Quelqu'un empoigna mom bras et m'amena avec lui. C'était un homme, sans aucun doute. Sa voix était familière mais je ne le reconnaissait pas. J'étais trop dans les vapes, et les quatres lignes que j'avais fait avant de sortir dehors commemcaient à faire son effet. La coke me remdais un peu parano, et je riais toujours fort malgré moi. L'homme commemca à marcher, et je ne voulais pas partir tout de suite. Je voulais prendre quelqies temps et m'asseoir encore au mur de brique. J'avais beau tirer, on dirais que sa ne donnais rien, ou c'était peut etre moi qui était trop "high" pour menrendre compte de mes actes. Ont avais pas encore quitté le coin ou le bar se trouvait. Je ne voulais pas qu'il parte nécéssairement, mais qu'il arrête de marcher. C'était étourdissant... Mais il continuais a marcher et je n'avais pas le choix de le suivre... J'entendis soudain me dire qu'il me ramennais chez moi, je réussi finalement à me boucher les oreilles.

- Arrête de crier...

Il me dévisagea, c'était surment moi qui était devenue complètement folle. De toute façon, c'était le seul moment que je pouvais l'être. D'accord, j'abusais beaucoup, mais j'aimais ça, et c'était se quimme nuisais le plus. Je le fesais de plus en plus souvent, et de semaines en semaines, mon visage devenais déformé par la cocaïne et toute ses autres choses toxiques et halucinogène. Il fallais qu'il arrête de marcher, c'était étourdissant, j'avais l'impression de tourner sir moi même en l'entendant me parler, plutot crier selon moi. Sa main sir mon bras serrais plus fort qie je ne le croyais. Mais je n'était pas parano...j'en étais sûr.. Ont marchait encore, quelques mètres ou plus.
BANG. mes dernières lignes de coke embarquèrent et je ria une seconde fois, seule comme une gourde. Ma robe, était longue......et là, il fallais que je m'appuie sur un truc n'importe quoi, j'étais encore étourdi. Je fis un signe de patiente au jeune homme puis m'assoya, juste deux minutes....il fallais que je me ressaississe... J'en voulais encore... Mais c'était Jimmy qui avais le reste, e je croyais l'avoir vu à l'interieur. Je lui téléphona avec le peu de moyen qie j'avais en lui demandant de venir dehors, mon cher chéri que j'aimais tant était, malgré sa haute délendace à la drogue... Était ce lui que j'aimais le plus au monde.
Le jeune homme à mes côté me parlais mais je ne me souvenais que quelques paroles, alors essaya de répliqier sir celles-ci.

- Je veux pas rentrer, je veux pas qu'elle m'haisse encore plus...

Il savais de qui je parlais. Merde, ou était jimmy ? Mon nez allais peut-être saignez encore se soir, mais j'en voulais encore, juste... Une seule. Encore... Juste une...
Je m'appuya -inconsiament- sur l'épaule du jeune homme à mes côté mais celui-ci remonta ma tête aussitot, mais qui c'était ? Je pris le temps d'ouvrir mes yeux puis vis était-ce Noam? Je le regarda avec mes yeux sous l'eccès de come, puis réalisa.

- Noam.... tu.. Faut pas que tu me vois comme ça...

Au même moment je vis Jimmy du coin de l'oeil sortir du bar.

mad

Lola était encore sous les vapes. Elle n'arrêtait pas de rire comme une débile et de tirer sur son bras afin de se dégager de la prise à Noam. Elle ne l'avait décidément pas reconnu. Cela allait venir. Ou pas. Noam était vraiment en colère et il n'était pas question qu'il la laisse ici toute seule. Il allait la ramener chez elle même contre son gré. Il était temps que toutes ses âneries cesse. De plus, il avait failli perdre son job pour les conneries de Lola qui commençait vraiment a lui tomber sur le système. Lola continuait de tirer sur son bras pour enlever la main de Noam qui lui empoignait fortement le bras mais elle ne réussit pas. Alors qu'il passait a côté d'un banc, elle s'y assit. Noam la lâcha alors et s'assit a ses côtés. Il se passa la main dans le visage en soupirant.

Écoute Lola. Que tu le veuilles ou non, je te ramène chez toi. J'ai fini de fermer les yeux sur tes petits problèmes qui m'en cause de gros à moi. Et puis c'est pour ton bien., dit-il d'un ton plus doux et plus calme.

Lola lui dit alors qu'elle ne voulait pas rentrer. Qu'elle ne voulait pas que sa soeur la haïssent encore plus. Noam regarda Lola. Elle avait finit par le reconnaître en fin de compte. Elle avait déposé sa tête sur son épaule. D'un petit geste de la main, Noam repoussa la tête a Lola. Cela pouvait donner certaines apparences et memes a cette heure la, Noam préférait ne pas prendre de chance. Et puis elle empestait l'alcool. Lola le regarda alors et elle lui dit qu'il ne devait pas la voir dans cet état la.

Écoute Lola. Premièrement, c'est pas la première fois que je te voit dans cet état la. Je te rapelle que tu habites a deux maison de chez moi et que je suis ton professeur. Et deuxièmement, t'as de la chance que sa soit moi qui t'es trouver et pas un policier ou un de ses gros bras qui aurait pu te faire du mal. , dit-il. Bon. Maintenant lève toi, je te ramène.

Noam se leva et apercu un jeune homme se diriger vers eux. Le garcon en question prononce le nom de Lola et se dirigea vers elle. Noam reconnu Jimmy immédiatement et se placa entre lui et Lola. Jimmy était un garcon peu baraqué malgré sa musculature de gym. Noam était plus grand d'au moins une tête et était plus bati que le petit dealer. Jimmy semblait enragé de cet affront et cria des noms a Noam et tenta de la pousser. Noam ne broncha pas.

Tu dégages ou tu va connaître le vrai sens du mot douleur. , dit-il sur un ton vraiment menaçant. Il utilisait parfois ce ton a l'école lorsqu'un gars lui causait du fil a retordre.

o

J'écoutais Noam, mais je comprenas que la moitiée. Pas parce que je ne l'écoutais pas mais bon c'était étrange. Soudain, j'entendis Jimmy dire mon nom, je me retourna pour le redarder, et Noam se leva aussitôt pour ne pas qu'il me parle. Noam et Jimmy se regardaient et j'avais vraiment peur, mais là c'était étrange, comme si ce sentiment c'était multiplié par mille. J'entendis Noam crier après mom chéri et vice versa et je ne comprenais pas pourquoi ils fesaient ça. Noam était entre moi et lui, alors j'essaya subtilement de me glisser entre les deux pour qu'ils arrête de se crier dessus comme des imbéciles. Comme d'habitide, défoncé je n'étais pas très douée pour la subtilitée, mais bon au moins ca allais être clair. J'allais surment parler tout croche et me contre dire, et surtout renifler pour rien - signe de manque de cocaïne - mais ca allais peut-être passer innapercu. Je passa mon bras entre mon prof et mon copain, ainsi qie le reste de mon corps. J'avais réussi! Mais le problème, c'était que j'étais trop petite comparée a eux, même avec des talons hauts. Ils se regardairent encore plus intensément puis je me décidea à parler malgré mes paroles qui se déformait au fir et à mesur.

- Lâchez vous... Ont fera pas.. la troisième guerre mondiale parce que...mon copain vien me voir...ou parce que..m..mon prof s'interpose, dis-je en essayant de bien articuler.

Les deux se regardairent comme si je n'avais rien dit, mais finalement j'espérais que Noam allais ce calmer et que Jimmy aussi parce que sinon ils allaient avoir affaire à moi. Enfin, si j'en étais capable encore. J'avais mal au pieds, et mon mez commemcais à me faire mal. Mon high était encore énorme et je ne pouvais pas vraiment restée debout trop longtemps. Mais avant, je voyais que Noam allais pêter les plomb, donc je lui disa doucement:

- Tu peux revenir...dans cinq minutes... ? Si tu fais ça, je vais t'attendre ici... Et tu.. Tu me ramenera...chez moi, promis...c'est promis..

Il avais tout les deux besoins de ce calmer et Noam prenais souvent des marches pour décompresser alors je pensaot qie sa serais une bonne chose qu'il y allais et que de mon côté je fasse ce que j'avais à faire... Noam me regarda en me disant de faire attention à mes actes et qu'ils allais revenir dans cinq minutes tout ou plus. Espérant qu'il n'allais pas ce querellé encore avec Jimmy à son retour....
Je rentra dans le bar et je vis une amie qui était du côté fumoir, alors j'alla la rejoindre avec Jim' à mes côtés. Celle-ci fumait je ne sais trop quoi, mais sa avais l'air drole, et je me demandait vraiment ce que ca fesais. C'était bizare, mais j'avais envie d'essayer, et encore une autre drogue de plus dans le corps... Ça allais donner un drole de feeling, pensais-je. Mais pourquoi pas ? Je m'assoya a ses coté puis elle pris mon téléphone.. J'étais trop perdu et encore dans les vapes de la coke pour me poser des questions donc je le lessa fait et commenca à fumer le truc, je ne sais trop quoi.

Combien de temps allais je rire comme ca ? C'était drole, je n'en poivais plus tellement qie je n'avais pas regsrder l'heure. Je regarda mon amie avec mon téléphone à la main, et je lui parlais de n'importe quoi en riant, je memtrouvais drole, et celle-ci prenaos un plaisir fou à me regarder. Je ria encore en raconta mon histoire de je ne sais trop quoi.

mad

Jimmy ne semblait pas vouloir s'en aller mais Noam voyait une petite lueur de peur dans ses yeux. Il savait qu'il en arrachait avec sa grande prestence. Et de toute maniere, il n,aurait aucune chance face a Noam. Il était trop petit. Lola c'était lever sans que Noam ne la voit et elle était venu s'interposer entre les deux hommes et leur avait de se calmer. Elle ne voulait pas voir de bagarre ici. Même dans cet état, elle était capable de savoir qu'elle ne voulait pas de bagarre. Noam s'écarta et Lola lui dit d'aller se promener un peu qu'elle parlerait avec Jimmy. Noam hésita a la laisser mais il ne semblait pas avoir le choix.

Il lui dit d'un ton menaçant qu'il lui laissait cinq minutes. Sans plus ni moins. Sur ce, Noam s'en alla marcher d'un pas lourd. Il se dit que le temps de faire le tour du bloc, cela représenterait cinq minutes. Donc il commença a tourner autour du bloc. Il avait la bizarre impression que Lola aurait fait une autre connerie. En fait. Il en était certain.

Lorsque le cinq minutes fut écoulé, Noam retourna ou il avait laissé Lola. Elle n'était plus la. Il jura fortement et regarde autour de lui. Il se dit qu'elle devait etre retourner au bar ou il l'avait trouver. Donc il se dirigea vers le bar et cette fois-ci il y entra. Le videur qui se trouvait a la porte l'avait suivi car il devait avoir un billet d'invitation mais Noam le frappa au visage et lui dit qu'il n'en aurait que pour deux minutes. Il entra et chercha Lola des yeux. Quand il l'apercu, elle était dans le fin fond de la piece avec une gang de jeune. Elle riait aux éclats sans aucune raison tandis qu'une de ses amies (ou connaissances) la filmais avec son téléphone. Rouge de rage, Noam s'avanca a grand pas et attrapa le bras de Lola.

Ça suffit. Maintenant. Tu viens que ça te plaises ou non, ragea-t-il. Et toi., commenca-t-il avant d'arracher le téléphone des mains de la jeune fille. Elle était trop gelé pour s'en foutre. On te redonneras ton téléphone un jour.

Puis il se mit en marche trainant Lola derrière lui. Et cette fois-ci, elle ne partira pas. Il sortit du bar en passant devant le videur qu'il avait frapper. Il avais le nez cassé mais il adressa un petit signe de tete a Noam, comme s'il était daccord avec le fait de résonner les petit jeunes gelés. Il traina Lola jusqu'a son auto ou il la fit asseoir et l'attacha et barra les portes afin qu'elle ne sorte pas. Noam s'assit au volant et démara la voiture.

o

J'étais la pire des connes, je m'en voulais un peu... Je ne voulais pas qie Noam ne m'adrese plus la parole. Mais je l'avais vraiment cherchée par exemple. Noam barra les portes de sa voiture mais comme une cruche, j'essayais de sortir. Par pour y retournée, mais pour avoir de l'air. La salvia avait presque disparu, et la cocaïne était encore présente, mais là mon nez me fesais mal, à en mourrir. Je ne pouvais pas être en manque déjà? Mon nez réclamais la poudre magique. J'étais pathétique, une fille droguée, pitoyable, dégoutante...
Toute la drogue consomé se soir restait en effet, et juste à en regarder mes yeux, j'avais l'air à vouloir m'évanouir d'une seconde à l'autre tellement que j'étais défoncée. Ça n'avais aucun bon sans. À ne pas comprendre les gens, même à les écouters... J'avais l'impression de devenir folle. Noam n'avais pas encore pris la route. Il voulais surment qu'ont parlent un peu avant, malgré mon état psychologique et mentale quelqies peu affablies. Je retira mes souliers à talon avec mes pieds avec une telle molleté que je m'étonnais moi même. Je posa mes pieds sur le tapid de la voiture et me retourna vers Noam. Je réalisa entre deux clin d'oeil, Que le reste de la coke se trouvait dans mon sac, et je l'avais cherchée tout ce temps? Mais ce n'était pas le temps de faire ça devant Noam, il allais piquer une crise. Ou un crise cardique.
J'essaya finalement de prononcer quelques mots même si j'avais l'impression qie mes lèvres étaient lourdes comme des briques.

- Je devrais pas te causer tant de problèmes.... Je comprend pas pourquoi à chaque fois... Tu es là... Et tu me sauve presque... Enfin.. Toujours de mes gaffes... Mais tu...

Je ria pour aucune raison. La coke surment. Je renifla puos poursuivit.

- Tu n'as pas... À subir tout ce que je fais... Et les conséquances... Pour toi... Ce n'es pas jutse.... C'est mes problèmes et mes conneries.... Et pas... Les tiennes..je comprend pas pourquoi... Tu tiens toujours à.. Me sortir de là...

Je comprenais rien à mes propres paroles. Mais j'essayais de faire que ca l'ai du sens. Même sur la coke, j'arrivais parfois á parler sérieusement et quelques fois, je n'arrivais pas à articuler un seul mot. Je m'appuya sur le siège, confortable... Puis tira sur ma jupe ou ma robe. Je n'attendais pas vraiment de réponse de sa part. Il n'avais pas commemcer à rouler encore. Il semblais pensif, parce que je ne l'entendais pas parler. Mes yeux était à moitiés fermés (et ce n'était pas a cause de la fatigue). Je les réouvris avec force, puis écouta le silence.

mad

Noam n'avait pas encore démarrer la voiture. Il se laissait un peu le temps de respirer. Lola commenca a parler. Elle lui disait un peu n'importe quoi mais il semblait comprendre l'ensemble de ce qu'elle voulait dire. Elle voulait en autre s'excuser. Mais elle était sous l'emprise de drogue. Lorsque ça ne sera plus le cas. Elle voudra le tuer parce qu'il va l'avoir arraché de ce monde de drogue.

Il démara enfin la voiture et pris le chemin pour se rendre chez eux. Leurs maisons étaient a environ 30 minutes d'ici. La soeur a Lola savait qu'il allait a une petite fête se soir car il lui avait averti que si quelque chose arrivait qu'Olivia allait l'appeler. Sa soeur avait beau être assez vieille, il ne voulait pas prendre de chance.

Le chemin se fit en silence. A pars dans les moments ou Lola tappait du pied compulsivement. Elle était déja en manque. Elle était vraiment atteint. Noam tentait de s'imaginer comment allait etre les prochains mois. Car Noam avait bien l'intention de tout dire a sa grande soeur et elle lui ferait faire une désintox.

Après 35 minutes, ils arrivèrent enfin dans leur quartier. Noam se stationna dans l'entrée de Lola. Il ferma le moteur et sortit de la voiture. Il alla du coté passager et fit sortir Lola, en la tenant encore par le bras. Il devait etre presque 4 heures du matin. On ne frappait généralement pas chez les gens a cette heure la mais Noam faisait exception aujourd'hui. Il sonna et attendit.

C'était la dernière fois que tu faisais des conneries aujourd'hui Lola, lui dit-il.

La porte ouvrit quelques instants plus tard sur le père de Lola, endormi.

o

Mon père ouvrit la porte de la maison, et je savais que sa ne sentais pas très bon... J'allais surment avoir des gros problèmsurtout que celui-ci n'était pas ai courant de mes consomatoins eccèssive de cocaïne et d'ecstasy. Celui-ci croyais que j'avais seulement eu une vie dure, point final. J'allais avoir des ennui et je savais que sa n'allais pas être facile, de passer par dessus. Juste a y penser... Sa me rendais malade. Nous entrions emfin dans la maison et je déposa mes souliers sur la moquette. Je fesais attention de ne pas tomber et faire attention a mes gestes et paroles. Je marcha tranquillement avec mon sac à la main. Noam ne savais pas à quoi j'étais dépendante et ce truc en qiestion était la cause de plusieurs personnes accros ou encore devenues cocaïnomane. J'en étais presque une, et je n'en était pas fière, mais j'en était trop dépendante pour me rendre compte a quel point j'étais rendue loin dans mon exès. J'aimais ca, même si j'avais une vois nasale trouée et que quelqies fois, ce que je buvais resortais par une seule narine, que je saignais souvent de cette même narine etque je me coupais souvent avec cette poudre.
Noam enchaina, en disant a mon pere qu'il voulais lui parler de quelque chose de très important, mais moi il fallais qie j'allais au toilettes. Et ca pressait. J'entendis les chaise de la table se tirer, alors je leur disa subtilememt:

- Je reviens...

J'entra dans la salle de bain, et parti le ventilateur. Je ne voulais pas qu'ils entendent tout mes fait et gestes. Je me rendis maladroitememt jusqu'au contoir, puis sorti mon sachet. Je pris la peine de regarder si la porte était vérouiller, puis traca ma ligne. En reposant le sachet, je remarqua qie mon Iphone avait disparu. Mon amie m'avais filmé avec... Mais... Mon dieu! C'était Noam qui l'avais.. Et il avait la vidéo ou on me voyais fumer le je ne sais quoi et dire des aneries....
Je placa ma ligne et la sniffa. C'était peut-être la derniere donc..
J'atrendis quelques secondes, puis sorti de la salle de bain en me rendant à la table.
Noam me regarda d'un drole d'air, comme si il m'attendait..
La cocaïne fesais déjà effet, et j'avais cette fois l'impression d'avoir abusé beaucoup, pes sensations n'était pas les même et bizarement j'avais peur de m'évanouir, mes yeux était étrange et mon visage lui, malgré le maquillage, tout déformé.
Noam me regarda d'avantage, je soupira.

- Quoi....

mad

Le père de Lola l'invita a entrer et il déposa ses choses. Rapidement, Lola alla s'enfermer dans la salle de bain tandis que Noam et son père s'assivait a la table.

Je voudrais premièrement m'excuser d'arriver a une heure pareil mais c'est vraiment important..., puis Noam continua son récit et raconta tout a son père. Le père de Lola était un homme bon et respectueux. Si il aurait su avant ce qui se passait avec sa fille, les choses aurait été différente aujourd'hui.

Lola fini par ressortir des toilettes. Elle avait un drôle d'air. Il aurait du vérifier sa sacoche avant qu'elle rentre dans les WC. Mais bon, le mal était fait. Et puis, Noam avait des preuves. Le père de Lola bouillonait de rage et de honte mais Noam comprenait tout a fait. Il sortit le iPhone qu'il avait pris a l'ami de Lola puis le montra a son père.

Une de ses amies étaient en train de les filmer quand je l'ai trouver. J'ai pris le téléphone. Question de côté privée. Puis Noam fit jouer la vidéo alors qu'il regardait Lola avec un air dur. Question de lui faire comprendre que maintenant tout était fini. Qu'il ne la lacherait pas avant qu'elle est fait et réussi une désintox.

Sur ce. Je suis désolé de vous avoir importuné de ma présence a cet heure. Mais je crois que c'était assez important comme sujet et que cela ne pouvait attendre., dit-il avant de se lever.

Le père de Lola lui affirma qu'il avait bien agit et qu'il règlerait cela sur le champ. Puis Noam s'excusa et les laissa discuter "en famille". Il remit ses souliers et sortit.

*« **Contenu sponsorisé** »*