(Noam es le premier et Destiny va arriver après quelques messages)

Ca fesais une semaine aujourd'hui que mon père savais que j'avais une énorme dépendance à la drogue, et aussi à l'alcool. Mais c'était principalement la dope mon problème. Tout le monde me le disais, mais je prenais ca pour un rien. Pour moi, c'était normal de consomer autant parce que je l'avais toujours fait et que ca en était devenu une habitude incontrolée. Mon père avait appeller dans un des centres de désintox les plus réputés de la californie, et il leurs restaient quelques places. 
Heureusement, vu que j'allais allé en désitox contre ma volonté,  j'en avais parlé à Jimmy, qui avais aussi une consomation de drogue assez elevé, mais moin grave que la mienne. Il avais acceptée d'en suivre une, à la condition qu'ont le fassent tout les deux, et qu'ont s'en sortent un jour. Il était consient que cette étape allais être dur pour moi, et un peu moin pour lui. Jimmy savais ce controlé, au contraire de moi qui abusais sans cesse. Le problème avec la désintox, c'était qu'on restait là bas, tant qu'ont était pas complètement remis. J'avais l'impression que j'allais y rester un moment... Mais le pire, c'etait que j'étais oubligée d'y aller. Houra! Je n'en avais pas du tout envie, ca fesais quoi que je me drogue comme ca ? C'était pas leurs problème, mais le mien. Enfin, j'avais pas trop le choix. Je n'avais pas encore dix huit ans, alors je n'avais aucun droit sur la prise de décision. La discution avec mon père n'avait pas été longue puisque j'étais complètement défoncé sur la coke lorsque nous avons parlez et il a deviné tout de suite que c'était un problème de drogue. Juste mon parlé ainsi que mon visage aussi. Mais pour l'instant, il n'était pas faché, il voulais juste que je guérisse, un point c'est tout. 

Ont avait finalement tout embalée mes affaires, mes vêtements, des petits trucs que je voulais y enmener, ect. Même si j'ai fait tout se que j'ai pu, mon père avait vérifier mes affaires au moins dix fois pour être sur que je n'ai rien apporté d'illégal. De toute manière, en arrivant la bas, ils allaient me fouiller et évaluer mon cas, et j'étais hyper nerveuse. Mon père n'était pas au courant que j'étais accro à la coke, et en plus c'était l'une des drogues les plus dangeureuses. J'avais déjà peur de voir sa réaction lorsque la thérapeute ou l'infirmière, peu importe, allais m'évaluer. 

Toutes les visites était sous surveillances, et les heures était très strictes. Ma soeur Destiny ne savais même pas que je m'en allais là bas, elle était parti en voyage, et je crois que c'était mieu pour elle et pour mon père qu'ils soient tout pes deux. De toute facon, j'allais faire ma désintox, et retourné chez ma mère... Je causais trop dr problèmes à des gens trop bien et selon moi, j'étais mieu lá bas, dans mon trou perdu avec ma mère, et Bret, (mon père de coeur). Je n'en avais parlé a personne pour ne pas qu'ils me fasse changé d'avis. 

Finalement, après avoir passés les test et vus le regard désespéré de mon père, ont m'avais assignée une chambre. Celle de Jimmy était à côté de la mienne parce que c'était les deux seules qui restaient. Dommage.... J'étais chanceuse, puisque nous avions les deux les mêmes problèmes, donc nous étions dans la même aile de traitement. Je m'installa finalement dans ma chambre, sans vie. J'y mis quelques photos, enfin, beaucoup. Ma console pour mon lecteur de musique. Mon ipod, une grande partie de ma vie. Mes vêtements dans les espaces réservés, ect. Je sorti mon cahier d'écriture, ainsi que mes diverses crayons. Je  savais que j'allais surment me défouler, et vouloir évacuer et écrire quelques chansons. Je m'assoya sur mon lit, et souppira en sentant déjà mon corps en demande de cocaïne. 

Deux...Quatres...Cinq jours plus tard. C'était indescriptible. J'avais l'impression d'être folle. Sa en était dégoutant. Les thérapies avaient déjà commencés et je n'y voyais aucune utilités. Ma tête etait toujours autant en feu, et mes membres toujours aussi en manque. Je ne pensais jamais que c'était si douloureux. Sérieusement, la mort es plus douce que cela. Crier, demander de l'aide, prendre des bains d'eau glacés, arrachés des tuiles de plancher, j'avais tout essayer, rien ne marchait. Ça allais être vraiment dur d'arrêter, même si dans ma tête j'étais presque sur que j'allais retomber dans la drogue en rentrant chez ma mère. Ca fesais cinq jours qu'ils devait m'endormir avec un sédatif, si non je n'arrivais pas à dormir. Jimmy lui, s'en sortait beaucoup mieu. Les deux premiers jours avait été dur, mais il était un peu plus controlable que moi. Nous avions pas du tout la même consomation d'alcool et de drogue, comparément au apparences qui pouvaient être parfois trompeuses, j'étais celle qui consomait le plus entre nous deux, et de loin, j'exèdès parfois les limites.

Cinquième jour.
Ont était vendredi soir, les visites ce terminaient vers les minuit. Seulement les vendredis. Mais moi, j'en pouvais plus vers les cinq heures de l'après midi.  Je m'étais couché dans mes couvertures, et Jimmy s'était couché près de moi pour m'aider à dormir. Les infirmières permettaient les visites entre patients, selon les relations qu'ils entretenaient. De toute façon, il avait des caméras partout donc aucune galipettes permise. De toute manière je n'étais pas là pour ça.  J'entoura mes bras autour de son torse, même si il était au dessus des couvertures. Il ramenais mes cheveux en arrière et me parlais pour que je m'endorme, mais je n'étais jamais capable. Ce n'étais pas descriptible. Un mal intense, mon corps qui demandais sans cesse de la drogue mais qui n'en recevais pas, c'était pire de jour en jour. J'avais beau essayer, je n'y arrivais à rien. Il était dix heures, et la musique marchait toujours, Jimmy ne dormait pas et moi non plus. Ont cogna soudainement à la porte. " Viste Lola ".  De la visite à cette heure là ? Bon, je ne dormais pas alors. Je me leva de mon lit, toujours habillée. Le visage déformé ou plutôt, endomagée gravement par la drogue. J'ouvris la lumière, et Jimmy me souhaita bonne nuit, en même temps que la "visite" entra dans ma chambre - qui était vraiment sacagée, enfin la chambre d'une fille en désintox qui deviens folle.  
J'étais surprise, mais mon visage n'étais pas si expressif. J'étais blême, et surtout sans maquillage, ce n'était pas très joli. 

- Salut, j'suis désolée d'avance pour le désordre intense... Pourquoi tu viens me voir à cet heure ? J'ai rien contre rassure toi...

J'en pouvais plus; mais je fesais mon possible pour être capable de controler mon ton de voix, et ne pas me mettre à crier à cause de la douleur. Je me retourna et ferma la porte derrière nous. 

- Je suis désolée... Je ne suis pas en état mais ça me fais plaisir que tu vienne me voir... Très plaisir. 

- À vrai dire, c'est cruel. Je sais que c'est pour mon bien mais j'arrive pas à croire que des gens réussissent à s'en sortir. C'est différent pour tout le monde, mais de mon côté ça ressemble à de la torture. Ça fait cinq jours que je suis ici, et j'ai l'impression que ma tête va exploser, j'en ai besoin! Je pris la peine de ne pas préciser le nom de la drogue en question, puis poursuivit, comme si je n'avais pas parlé a quelqu'un de cencé depuis des jours. J'ai l'impression de mourrir, je n'suis même plus capable de dormir, je sais pas pourquoi et j'ai besoin d'un sédatif ou des cachets super puissnts, si non je fais les cents pas. Je sais pas comment est mon séjour ici, les journées sont longues, je suis enfermée ici, et j'essaie de tuer le temps. J'écris mais c'est de la m*rde à toute les fois, j'ai aucun contact avecmes amies, même si ils sont venu me rendre visite une ou deux fois, ma mère est venu avec mon beau père [bret michaels], lundi je crois.... Ma mère es revenu avant hier.... et il était pas là... Je savais pas pourquoi... Elle m'a regardée et m'a dit "Il t'aimais Lola, je veux que tu te souviennes de ça...promet.." je me souviens plus de la suite, mais je sais que je pensais jamais qu'il allais partir aussi vite, je sais bla bla, c'était pas mon vrai père. MAIS POUR MOI ÇA LA ÉTÉ TOUT LE LONG DE MON ENFANCE ! Il y a personne qui va m'enlever ça et personne ne sera jamais comme lui. C'était lui, et pas le père de Destiny. Là, je sais pas j'ai rien dit a personne j
J'aime pas me pleindre.. Mais je voudrais tellement sortir d'ici! Putain, ma mère ce retrouve toute seule parce que son mari est décédée et moi j'suis prise ici avec des gens qui essaient de m'aider pour ... Je peux pas laisser ma mère toute seule, je peux pas... Elle mérite que je sois avec elle, d'avoir SA fille avec elle, et qu'elle puisse ne pas se sentir aussi seule que je le suis... Et je comprend pas... Bret avait pas le droit... Il avait pas le droit de partir comme ça ! Ma mère avaiy besoin de lui, j'AVAIS besoin de lui... Si seulement il savait à quel point je l'aimais.
Ont aurrait pu éviter ca si j'aurai été la bas, mais non! Je suis ici avec des foutus infirmières. J'ai beau essayer de me controler, ca fonctionne pas du tout. Les tuiles du plancher de la salle de bon son arrachées... J'en ai besoin.. Et depuis hier, je reste asise là et la seule chose que j'ai envie de faire, c'est de me faire une ligne de coke, je suis à bout.

J'avais tout dis cela, en une seule respiration.. Comme si.. Il fallais qie ca sorte. J'avais dit cela avec un air désespérée sans pourtant me mettre à pleurer comme un enfant. C'était sorti de ma bouche, et je me demandais vraiment ce que Noam pensais de mes propos, puisqu'il ne disait rien. Et je voulais au moin qu'il reste... Et qu'il ne ce sauve pas.