Un nouveau travail. C'est ce qu'il me fallait. En fait, ce n'étais pas le meilleur travail du monde, ni le plus digne, mais, j'en avais un. Mon nouveau Patron m'avais expliquer que le club, n'étais point comme les autres. Certes, oui, je dansais pour de l'argent, mais ce n'étais pas du tout le même principe. En fait, ça ressemblait plutôt à un spectacle classe, mais osé à la fois. J'entra donc dans la batisse, puisqu'il étais déjà 23 heures, et j'étais en retard, comme d'habitude. Je fila en arrière scène pour me changer puisque c'étais toujours moi qui ouvrait le vendredi soir. (habillé ainsi)

J'installa mon micro, pis me déplaça vers la deuxième salle d'essayage pour vérifier si les autres filles étaient prêtes à entrer en scène.

« Vous êtes prêtes les filles? »

Nous montions toutes à la file indienne, nous placant sur la scène derrière les rideau. La mélodie commença, et nous nous avancions toutes sur la passerelle en nous déhanchant.

(juste écoute la chanson)


Je dessendis les escaliers, et un garçon me tendis de l'argent, je m'assaoya donc sur ses jambes, face à lui. Tout en poursuivant ma chanson, je pouvais ressentir ses mains qui parcourait mon torse et mes cuisses. Je retourna quelques secondes avec les autres filles pour poursuivre la chorégraphie, et je pouvais voir tout les yeux rivées sur nous, et nos habit ayant peu de tissus. Un autre garcon me tendis de l'argent, celui-ci paraissait plus tôt jeune, je lui fit donc une danse pendant que celui-ci glissa un généreux 20 dollars dans mon bustier. Je retourna ensuite sur scène, ou ce déroulait mon moment préféré. On pouvait apercevoir la plus part des hommes - tous en bas âges, environ 25 ans et moins - s'approcher du bout de la scène pour observer la suite. Tout en dansant, une autre danseuse vint détacher mon bustier, pour qu'au final, je sois en sous-vêtement, ce qui me dérangeait point, et, ce qui réjouissait les clients. (je gardais mes mains fermement sur ma poitrine, évidement) Les mains des hommes apparaissait sur la scène pour y déposer de l'argent, et l'un d'eux glissa cinquante dollars dans mes culottes en dentelles, je me déplaça donc vers lui, et le laissa toucher mon corps.

Le numéro terminée, je retourna derrière la scène, pour me changer de nouveau, et alla servir des verres durant les autres numéros. Certes, je recevais davantage de pourboire, ce qui n'étais pas de refus.

Je me déplaça vers une autre table, puis aperçu Noam.

« Oh, putain. », soupirais-je.

Mais qu'allais t'il dire de tout ça?
Et puis, qu'est-ce qu'il fesait ici de toute façon?

« Est-ce que je peux te servir quelque chose? », dis-je quelque peu inconfortable.

« j'ai des contacts, disons. »

C'étais évidemment un énorme mensonge, mais je ne pouvais pas lui dire que je travaillais illégalement.

Ce n'étais pas du tout de ses affaires! Certes, c'était mon prof, mais c'était ma vie privée, et il devait la respecté. C'était la moindre des choses, non? Le pauvre Noam devait être arrivée peu après mon numéro... donc, ne devait point savoir pour mon premier poste, celui de danseuse. Oups.

« Alors, je vous sers quelque chose a boire messieurs? »

L'un d'eux leva la main, puis m'informa que c'était sa soirée d'enterrement de vie de garçon. Ce dernier ne semblait pas sobre, mais ici, c'était rare qu'on apercevait des gens sobre. Noam lui semblait avoir toute sa tête, alors ce n'était pas lui qui allais me donner mon pourboire ce soir. Je n'osa même pas lui demander si il allais consommer quelque chose, mon professeur n'avait pas l'air très heureux de me voir ici. Un ami de Noam pris un verre, et je n'eu le temps de leur apporter, que c'étais déjà à mon tour de retourner sur scène. Il désirait peut-être me dire autre chose, mais je n'avais pas le temps de papoter.

Je revêtis des sous-vêtements rose fuchsia, mon micro, et monta sur scène. J'étais plutot anxieuse à l'idée que Noam me vois dans ce contexte-ci.



(juste la toune lololol)

Je m'avanca sur la plateforme tout en me déhanchant, puis j'apperçu un ami de Noam me faire signe. Putain. Pourquoi dieu m'en voulais tant ce soir? J'étais heureuse puisque ce n'étais pas le futur marié.

Deux ou trois garçons me tandis de l'argent, et je fis ce que j'avais à faire. Je détestais lorsque les clients allaient au delà des règles, et qu'ils touchaient des endroits interdis. Je me consolait en me disant que j'avais reçu assez d'argent pour le traitement que l'un d'eux m'avais réserver. Je poursuivit ma chanson, puis me rendit à l'ami de Noam. Il me tendis un billet de vingt dollars. L'homme devait avoir environ vingt-cinq ans, alors ca ne me dérangeait pas de lui réserver mon traitement spécial. Noam allais vouloir me tuer, j'en étais consciente. L'homme glissa 20 dollars dans mes sous-vêtements, puis, je m'assoya sur les jambes, face à lui. L'un des point positifs, c'était qu'ils ne s'aventurerait pas trop. Je pouvais ressentir les yeux de Noam me fixant, mais ce n'était pas du désir, mais du dégout. En fait, les clients avait le droit de toucher, sauf certains endroits évidement. Une minute plus tard, je me leva pour me diriger vers la plateforme, ou ce déroulait, comme à l'habitude, ma finale. C'était en fait, ma marque de commerce, et plusieurs clients revenait régulièrement, uniquement pour me voir. Je ne savais pas si je devais prendre cela en compliment ou non. Je me mis dos au public pour retirer mon soutiens-gorge, (évidement, je tenais ma poitrine parce que ce n'étais pas vraiment pudique) et comme à l'habitude, je pouvais apercevoir les clients s'approcher, et observer. C'était le moment du numéro ou je me faisait le plus d'argent, puisqu'ils me lancait presque tout les billets qu'ils avaient sur eux. Certains glissais même des billets dans mes sous-vêtements.

Après le numéro, je du - encore - aller servir les verres. En passant près de la table de Noam, j'entendis son ami dire tout bas, « Je t'avais dit que c'étais de la bombe! » j'étouffa un rire en allant servir mes verres à la table six.
Noam allais vouloir me parler à la fin du service, et ça n'allais pas être joli.

3 heures du matin, on ferme. Noam alla conduire ses amis à leurs maisons respective, et revin au club. En fait, je m'apprétais à partir lorsqu'il arriva pour me glisser un mot.

« Tu veux porter plainte? »

« Tu sais, oui, je fais ce boulot parce que ça paye beaucoup plus qu'un boulot régulier, et ça me permet de ne pas être très prise dans mes fins de mois.. j'y arrive pas sinon. Moi et ma soeur on à eu une énorme dispute et maintenant, je vis en appartement et j'ai beaucoup de dépenses à faire, même si je n'en suis pas fière.»

Évidement, je faisait référence à la drogue. Non, je n'avais toujours pas arrêter. De plus, j'avais quitté Jimmy il y avais déjà quelques semaines, ce qui rendait la situation encore plus difficile.

« Quel genre d'emploi? »

J'étais tellement habituée de me faire un paquet d'argent ici, que si je me retrouvais avec un emploi plus que 'normal' j'allais me retrouver dans la misère jusqu'au cou. Je ne savais plus trop quoi faire.

« Tu sais, c'est très gentil de ta part de me l'offir..»